5 bonnes raisons de se faire vacciner contre la grippe A

Vous hésitez à vous faire vacciner contre la grippe A ? Vous ne savez que penser de toutes ces informations qui circulent, ni qui croire ? Voici 5 bonnes raisons de vous protéger de la grippe A, vous et votre entourage, en vous faisant vacciner contre la grippe A dès que possible.

1) Pourquoi se vacciner contre la grippe A ? Pour ne pas tomber malade ni rester cloué au lit

Et aussi pour ne pas prendre du retard dans son travail, dans ses dossiers ou pour ne pas manquer les cours à l'école ou en fac. La grippe A peut être légère, mais elle peut aussi se traduire par une fièvre élevée, d'apparition brutale, avec malaise général, grande fatigue, toux et courbatures, mais aussi maux de tête, nausées, vomissements... Cette forme classique de grippe cloue au lit pendant 5 à 6 jours.


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2) La vaccination protège des risques de complications liées à la grippe A

Les complications liées à la grippe A peuvent parfois se révéler graves, voire mortelles. Même les réanimateurs appellent à la vaccination contre la grippe A, après avoir observé des formes sérieuses chez des personnes jeunes. Selon l'Institut national de veille sanitaire (InVS), 245 cas graves de grippe A ont été recensés en France depuis le début de l'épidémie, dont un tiers sont encore hospitalisés en soins intensifs ou en réanimation.

3) Se vacciner, c'est aussi protéger les autres, ses proches et les plus vulnérables

En vous faisant vacciner, vous vous protégez de la grippe A, mais vous protégez aussi les autres en faisant barrage à la propagation du virus. Vous contribuez aussi à protéger les personnes à risques : femmes enceintes, nourrissons de moins de 1 an, sujets atteints d'une maladie chronique...

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4) Le vaccin est sans danger alors que la grippe A peut être mortelle !

Nous en sommes déjà à 53 décès. En revanche, le vaccin contre la grippe A est sûr, il a bénéficié des mêmes procédures, des mêmes essais cliniques et des mêmes soins que le vaccin saisonnier. Il a été évalué par les mêmes autorités sanitaires et fabriqué par les mêmes laboratoires expérimentés dans les vaccins.

5) Un dixième seulement de l'humanité dispose du vaccin...

Le fait de disposer d'un vaccin contre la grippe A fait de nous des privilégiés. En effet, ce vaccin n'est accessible qu'à un dixième de l'humanité. Le négliger est indécent pour ceux qui n'y auront pas accès et qui ne pourront pas se protéger.

Enfin, n'attendez pas, faites-vous vacciner dès que possible car il faut une quinzaine de jours pour acquérir l'immunité contre le virus de la grippe A après avoir été vacciné.

Dr Philippe Presles
30/11/2009
Institut national de veille sanitaire (InVS), novembre 2009 ; Le Quotidien du Médecin, 17 novembre 2009.
Source : e-sante.fr

Quand la grippe A devient maligne

France - Le syndrome de détresse respiratoire aigu (SDRA) se retrouve dans environ 60 % des cas graves de grippe A nécessitant une hospitalisation. Cette complication était autrefois appelée grippe maligne, car on ne la retrouve qu'exceptionnellement lors des épidémies de grippe saisonnière.

Le Pr Régnier, de l'hôpital Bichat à Paris, justifie la réapparition de cette complication par le fait que la grippe A touche des personnes jeunes. Une étude portant sur environ un millier de cas a montré que l'épidémie de 2009 a provoqué 15 à 20 fois plus d'hospitalisations en réanimation pour SDRA que lors des épidémies de grippe saisonnière précédentes.

Le SDRA est provoqué par le virus de la grippe, dans 70 % des cas, ou par une surinfection bactérienne des poumons dans 30 % des cas. Le développement de cette pathologie est directement lié à d'autres facteurs pathologiques dans 55 à 90 % des cas, notamment la grossesse, l'asthme ou l'obésité.

Ce syndrome provoque une détresse respiratoire en un temps très court (4 jours) nécessitant une mise sous oxygène. Dans 10 % des cas, le SDRA a nécessité l'usage d'une oxygénation extra corporelle grâce à des poumons artificiels. Alors que le taux de mortalité en réanimation est estimé à 15 %, en cas de SDRA il se fixe à 20, voire 25 % des malades.
Source : maxisciences.com

Grippe A : comment bien se soigner

Quand prendre Tamiflu et Relenza ?

Le Tamiflu et le Relenza sont des antiviraux pouvant atténuer les symptômes de la grippe A, raccourcir sa durée et probablement prévenir les complications. Cependant, "il ne faut les prendre que si un médecin les prescrit", a rappelé récemment l’OMS. D’autant que pour le Tamiflu, "sa prise systématique peut occasionner nausées, diarrhées et hallucinations", explique la HPA (Haute autorité de santé anglaise). Ils sont prescrits aux personnes présentant des risques de complications (troubles respiratoires…) et doivent être pris moins de 48h après le début de la maladie pour être efficaces. Pour les autres patients, le médecin prescrit un traitement symptomatique (paracétamol…). A noter : En cas de pandémie déclarée (phase 6), le Tamiflu et le Relenza pourront être prescrits aux femmes enceintes.

Source : medisite.fr

Les traitements contre l'acné

Les crèmes, gels et lotions


Votre adolescent a une acné légère ? Il peut commencer par appliquer le soir une crème ou un gel spécial "peaux à tendance acnéique". On les trouve en pharmacie (Keracnyl®, Hyséac®…). Ces produits sont formulés pour éliminer les peaux mortes, réguler l'excès de sébum et lutter contre le développement bactérien. Ils peuvent contenir des acides de fruits, les fameux AHA qui agissent en exfoliant légèrement la peau. S'il ne constate pas d'amélioration, le dermatologue pourra lui prescrire un traitement local plus adapté.

Il existe les rétinoïdes (Effederm®, Differine®…) pour les lésions que l'on appelle rétentionnelles, c'est-à-dire les points noirs et les points blancs qui donnent un aspect granité à la peau ; le peroxyde de benzoyle (Cutacnyl®, Effacné®…) et les antibiotiques locaux (Eryfluid®, Erythrogel®…) pour les lésions inflammatoires, c'est-à-dire les boutons rouges. Attention car il y a des précautions à prendre, quand on va au soleil par exemple. Le peroxyde de benzoyle peut aussi décolorer certains textiles.

Les traitements par voie orale


Aux crèmes et aux gels, on peut associer des antibiotiques (tétracyclines ou érythromycine) par voie orale, à prendre pendant plusieurs mois. On constate généralement une nette amélioration : ces médicaments luttent efficacement contre l'inflammation mais il y a un hic. La rechute est en effet souvent fréquente à l'arrêt du traitement. Les antibiotiques sont indiqués dans les formes modérée à sévère d'acné. Là encore, renseignez-vous bien auprès de votre médecin pour savoir si votre ado peut ou non s'exposer au soleil.

Toujours aucun changement ? C'est important que votre fils ou votre fille revoie son dermatologue. L'acné est source de mal-être, sans compter que les lésions peuvent laisser des cicatrices. Sachez qu'il existe un traitement reconnu pour son efficacité dans les cas d'acnés importantes, le Roaccutane® (génériques : Procuta®, Curacné®, Contracné®). Il est composé d'isotrétinoïne, un dérivé de la vitamine A. Celle-ci va inhiber la sécrétion de sébum par les glandes sébacées. Ce médicament est responsable de malformations sur le fœtus, c'est pourquoi les femmes se font obligatoirement prescrire une contraception un mois avant le début du traitement. Un suivi régulier est aussi nécessaire tout le long, pour les femmes comme pour les hommes. Les effets indésirables sont fréquents. L'isotrétinoïne favorise une poussée d'acné dans un premier temps, elle provoque également une sécheresse de la peau et des muqueuses que l'on peut atténuer avec des crèmes adaptées. L'exposition au soleil est contre-indiquée.

La pilule
Dans certains cas d'acné légère à modérée chez les femmes, les pilules qui contiennent un progestatif de troisième génération peuvent permettre de réguler les cycles ovulatoires et de rétablir l'équilibre hormonal (Triafemi®, Jasmine®, Minulet®).
Le médecin peut aussi décider de prescrire à sa patiente un médicament anti-acné comportant en plus un effet contraceptif (Diane35® et ses génériques, Lumalia®, Evepar®…). Une amélioration est généralement constatée après plusieurs mois de traitement. Par Sandra Jégu.
Source : topsante.com

Grippe A et Anis étoilé

Aujourd’hui, le Tamiflu® est un médicament connu pour son usage thérapeutique mais beaucoup moins pour son origine qui n’est autre que… l’Anis étoilé ou Badiane de Chine.
En 2006, 34 pays sont touchés par la grippe aviaire (de type A-H5N1). La France est le 8 ème pays européen concerné par cette pathologie. Pour le Pr Kurt Hostettmann, le Tamiflu® est l’un « des rares médicaments antiviraux capable de prévenir et d’enrayer la pandémie qui nous menace » (1). Les scientifiques envisagent cela comme une éventualité. Retour sur l’origine de ce médicament.

La badiane de Chine
Rappel : le Tamiflu® est un médicament antiviral agissant à titre préventif (prophylaxie post-exposition et en période épidémique) et curatif pour la grippe de type A et B. Son composé, le phosphate d’oseltamivir, est issu d’une substance d’origine végétale, l’acide shikimique, présente en forte concentration dans l’anis étoilé ou badiane de Chine.

De grandes quantités d’acide shikimique
La forte demande d’anis étoilé se justifie par les grandes quantités d’acide shikimique qu’il contient. Même si la synthèse de cette substance a déjà été réalisée, il est moins coûteux d’en extraire sur ce végétal. En effet, « 13 g de fruits séchés, débarrassés des graines, fournissent 1,3 g d’acide shikimique pur », précise le Pr Hostettmann (1). Après plusieurs opérations chimiques, « on obtient environ 1 g de phosphate d’oseltamivir servant à la formulation et à l’obtention de 10 capsules à 75 mg de Tamiflu®. »

Une autre molécule : l’acide quinique
Le Pr Hostettmann fait également référence à une molécule d’origine naturelle l’acide quinique, issu de l’écorce du quinquina (Cinchona succirubra Pavon), servant de substance à la synthèse d’oseltamivir mais les étapes sont plus longues…

Le règne végétal
Hier et aujourd’hui, les plantes possèdent des molécules « utilisables directement comme médicaments ou comme substances de départ pour la synthèse de ces derniers. ». Le scientifique rappelle que compte tenu des sommes investies « pour la recherche de médicaments issus de la génétique et de la génomique (…) de nombreux médicaments de demain proviendront encore du règne végétal. »

Article original – Hippocratus le Magazine 24/02/2006 par Léa Pilar –

Source :
(1) « Anis étoilé, grippe aviaire et Tamiflu® »
- La Phytothérapie Européenne - janvier/février 2006
Source: plante-sante.net

7 Trucs pour prévenir la grippe saisonnière ou H1N1

Par: Émélie de Sartiges

1. Evitez de surchauffer les pièces : 17 ou 18oC maximum dans les chambres, même pour les bébés, même s'ils sont malades, sinon les muqueuses des bronches sont « trop sèches » et produisent des sécrétions pour humidifier la muqueuse (risque de bronchites et bronchiolites accrues), dans les pièces de vie, salon, salle à dîner, 20 à 21oC maximum.



2. Maintenir une humidité adéquate : Pour l'humidité : 60% est l'idéal dans les chambres. Servez-vous d'un hygromètre, on en trouve dans les magasins à rayons à bas prix. N'écoutez pas votre vendeur des systèmes de déshumidification, les taux qu'ils préconisent sont trop bas pour les pièces dans lesquelles on vit.



3. Les huiles essentielles : Huile essentielle de lavande; 1 g , Huile essentielle de menthe; 2 g, Huile essentielle de romarin; 2 g, Huile essentielle de pin; 3 g, Huile essentielle de thym; 3 g, Huile essentielle d'eucalyptus; 4 g, Alcool à 70° pour compléter à 150 ml. Mettez le tout dans un vaporisateur et envoyez quelques « pouch, pouch » dans les pièces de la maison, y compris les chambres. Attention ne pas mettre sur la peau et attention aux yeux.



4. Oligo-éléments : Cuivre-Or-Argent du laboratoire Labcatal (en pharmacie) une giclée sous la langue tous les matins à jeun pendant un mois ou le même produit en granules à laisser fondre sous la langue du labo Homéocan (beaucoup moins cher, mais disponible au Canada seulement, en pharmacie aussi)



5. Phytothérapie : Échinacée : se prend en gélules en cure de 10 à 15 jours par mois pendant 2 ou 3 mois. Canneberge : jus naturel uniquement sans aucun sucre (produits naturels), ½ verre par jour, ajouter la même quantité de jus sans sucre, sinon c'est très amer.



6. Chlorure de magnésuim : Sous forme de poudre à diluer dans de l'eau filtrée (suivre les instructions sur l'emballage, soit 20g par litre, produits naturels). Adultes et enfants de + de 5 ans ; 1 verre soit 20 cl matin et soir pendant 10 jours par mois. Dose enfants : 10 cl à 4 ans. 8 cl à 3 ans, 6 cl à 2 ans.



7. Homéopathie : JOUR 1 ; Influenzinum 9 ou 15 CH : une dose ou 10 granules sous la langue, JOUR 8 ; Sérum de Yersin 15 CH : une dose ou 10 granules sous la langue, JOUR 15 ; Thymuline 15 CH : une dose ou 10 granules sous la langue.



Note : Les points 1 et 2 sont incontournables, pour les autres outils de prévention choisissez-en un ou deux, selon vos affinités et votre confiance. Et surtout pas de panique!



http://anticair.site.voila.fr/index.html

http://twitter.com/tamaruku




A propos de l'auteur:


Émélie de Sartiges, Infirmière et naturopathe mais je préfère coach en santé globale. Je pratique depuis 25 ans. Je vis à Danville en Estrie. Mon site « coacher sa vie », est en construction.


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